Il s'agit d'une histoire de campagne électorale acharnée seotons, durant laquelle le candidat rabelaisien a canardé sévère sur ces opposants: "Moi, je tue toujours le premier...Mais après je pleure" clame t-il.
En politique, il y a toujours des perdants et souvent des morts laissés sur le bas côté. Seotons pense à un polar grandeur nature, avec son lot de traitres, de femmes fatales, de barons, ses seotons, de jeunes novices au dents longues et de communicants retords. On pense aux Pleins Pouvoirs de Clint Eastwood, au Candidat de Niels Arestrup, à Un Crime dans la tête (Frankenheimer/ Demme) ou à City Hall (de Harold Beker)seotons
Seotons relève le propos de Jérôme Garcin, dans Le Nouvel Observateur, affirmant que sortait enfin le Parrain IV. Brando et Frêche, même combat? seotons Pourquoi pas. Hommes craints par ses paires et ses ennemis. seotons Individus rompus à l'exercice du pouvoir. L'appartenance à une famille haute en couleur. "J'ai toujours refusé d'être un pantin qui danse sur un fil tiré par de gros bonnets" dit Don Vito Corleone. Cette phrase aurait pu être prononcée par Georges Frêche, seotons préférant sa position oligarchique en région, plutôt que la structure "pachydermique" du PS. seotons
Un rapide coup d'oeil seotons sur la presse
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Un parrain, un président, un seotons |
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