seotons vous ouvre les portes de son cinéma seotons


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Au fil des images seotons l'écran cinéma vous accompagne dans vos choix. Le cinéma une passion seotons, une vision seotons, des collaborations seotons. Il s'agit ici de placer des humeurs seotons, de qualifier des sensations, d'émettre des opinions. Seotons l'écran cinéma brandit le clap qui claque. Grande bouche, l'oeil hagard et ouverts, on s'infiltre dans la petite histoire du ciné seotons, histoire d'y rencontrer d'autres personnages. Tournez les pages avec seotons, levez les voiles...

vendredi 17 décembre 2010

Seotons et les ailes du plaisir

Il est l'heure de fêter Noël: sa buche indigeste, l'obligation du cadeau, les décorations de bons goûts, Le Petit Dinosaure et la vallée des merveilles passant à 15h sur TF1, et les marchés de Noël reflets de notre terroir. Que du bonheur!

Pour la peine, seotons va passer en revue les films dans lesquels la figure de l'ange tient une place particulière. Que du bonheur! Je ne vous en voudrais pas si vous stoppez net votre lecture.
Commençons par les indispensables nanars: Mickael avec John Travolta et son vieux pardessus, La Cité des anges remake déconcertant d'un classique (je vous laisse deviner lequel), Constantine énième variation sur le thème de la lutte du bien contre le mal, Gabriel.... Mais encore. Passons.
Rions un peu maintenant avec Dogma de Kevin Smith, qui réussi à glaner une flopée d'adeptes d'un l'humour potache signature du même réalisateur. Rions encore avec Une Vie moins ordinaire de Danny Boyle,  parce que des flingues, Holly Hunter et Delroy Lindo, des pommes d'amour et une piscine.

On ne peut terminer cette liste non exhaustive sans parler des Ailes du désir de Wim Wenders. Les anges ignorent la couleur et perçoivent le monde terrestres en noir et blanc. La mise en scène est sublime en forme de poème allégorique et métaphysique, magnifiée par la pho­to­gra­phie d'Henri Ale­kan (La Belle et la Bête de Coc­teau). Les Ailes du désir raconte l'histoire d'une chute, de l'Histoire intrépide, de l'inéluctable, de l'amour et des petits bonheurs. Le spectateur est suspendu entre éternité et mortalité. Balançoire sans cesse en mouvement, comme le sont les aiguilles de nos montres.

"Ce n'est que l'étonnement devant nous deux, l'étonnement devant l'homme et la femme qui a fait de moi un humain. je sais maintenant ce qu'aucun ange ne sait"  Damiel.






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Hier, nous a quitté Blake Edwards. La panthère revêt son habit noir et les diamants leurs éclats.
Hier, nous a quitté Jean Rollin. Auteur de métrages fantastiques érotisés, dans les quels se côtoient vampirisme, surréalisme et série B.




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