Elles étaient belles, mordantes, piquantes, impeccablement désaxées. Leur préocupation majeure: angoisser leurs proches, et par la même occasion notre petit monde parfaitement cadré. De qui parle seotons? Des malades mentales qui ont jalonnné sa jeunesse. Jeunesse à jamais révolue, qu'il cherche vainement à lifter. Comme elles maintenant. Seotons parle de ces femmes, totalement barrées, qui ont pimenté les plus mauvais thriller, ou rendu perfectibles les meilleurs polars.
A brûle pourpoint, seotons se remémore les jambes de Catherine Tramell, la massue d'Annie Wilkes, le couteau à boucher d'Alex Forrest.
La clope au bec, Sharon Stone et Linda Fiorentino éclosent. Le diable au corps, Katleen Turner et Glenn Close s'émancipent. La folie au bout des doigts, Kathie Bates gagne l'Oscar tandis que Jennifer Jason Leight s'installe. Seotons s'amuse.
Il en reste encore: Nicole Kidman dans Malice ou Prête à tout, Lena Olin dans Romeo is bleeding, Virginia Madsen dans Hot Spot, Madeleine Stowe dans Lune Rouge, Kim Basinger dans Final Analysis... Theresa Russel (La veuve noire), Marcia Gay Harden (Miller's crossing), Jessica Lange (Le facteur sonne toujours deux fois), Jennifer Beals (Le diable en robe bleue), Embeth Davidtz (The Gingerbread man), Susan Sarandon (L'Heure magique), Angelica Huston (L'honneur des Prizzi et Les Arnaqueurs), Carrie Ann Moss, Sean Young, Jennifer Tilly, Gina Gershon, Rebecca de Monay (plus d'infos ici)...
Dignes héritières de Kim Novak, Ava Gardner, Rita Hayworth, Lana Turner et consorts!
Elles étaient noires, vénéneuses, dangereuses et impeccablement diaboliques.
Elles étaient noires, vénéneuses, dangereuses et impeccablement diaboliques.
Video: femmes fatales glamours
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